Merci aux élus de La Couture pour leur accueil. Des échanges toujours chaleureux et francs autour des atouts et des problématiques des collectivités. Nous avons notamment évoqué l’accès aux soins et la rénovation de l’église.


Votre députée
Merci aux élus de La Couture pour leur accueil. Des échanges toujours chaleureux et francs autour des atouts et des problématiques des collectivités. Nous avons notamment évoqué l’accès aux soins et la rénovation de l’église.
Une semaine à l’Assemblée nationale s’achève. Elle fut riche, avec notamment le vote de la Loi de Programmation Militaire et l’étude des textes du groupe LIOT.
En commission des Affaires culturelles et de l’éducation, j’ai travaillé sur les questions de l’audiovisuel public et de la réforme du lycée professionnel.
Dans le cadre de l’étude de la proposition de loi Valletoux visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professionnels, j’ai porté des amendements en commission des Affaires sociales.
L’Assemblée nationale a adopté, à une très large majorité, la Loi de Programmation Militaire (LPM) pour les années 2024-2030.
Avec mes collègues d’Horizons, j’ai bien entendu voté en faveur du renforcement et de la modernisation de nos armées et pour la protection de tous les Français. Le travail parlementaire s’est déroulé durant plusieurs semaines avec la construction de consensus et, au final, un large rassemblement.
Face aux menaces plurielles, à la multiplication des acteurs, au retour de la guerre de haute intensité en Europe, à l’émergence de nouvelles menaces, la Nation réalise un effort budgétaire inédit en mobilisant 413 milliards d’euros.
mieux équiper les militaires qui nous défendent,
fidéliser les engagements,
moderniser et renouveler l’armement et les matériels ,
renforcer, moderniser et garantir notre dissuasion nucléaire,
renforcer le renseignement militaire,
investir dans la cyberdéfense, le sol-air et la défense spatiale.
Garantir à la France un outil de défense solide et renforcé, atout au service de sa souveraineté et de son autonomie stratégique.
Je poursuis mes rencontres avec les maires et élus locaux des 60 communes de la deuxième circonscription de Vendée. Ce lundi, j’ai eu le plaisir de rencontrer une partie du conseil municipal de Bournezeau. Merci à madame la Maire, à son premier adjoint et aux conseillers municipaux pour leur accueil.
Une fois de plus, les sujets de la santé et de l’accès aux soins ont été omniprésents. J’ai notamment présenté le sens de la proposition de loi de mon collègue Valletoux..
De nombreux projets locaux ont été évoqués et notamment celui de la nouvelle mairie.
Inauguration de la médiathèque « les voyageurs » à Mareuil-sur-Lay-Dissais. Un équipement résolument moderne et contemporain au service de la lecture publique, du partage et de l’animation culturelle.
Une réalisation intercommunale de Sud Vendée Littoral soutenue par le Département, la Région et l’Etat avec la Drac.
Je remercie Laurent Huger et son premier adjoint pour leur accueil à La Faute-sur-Mer, l’Aiguillon-la-Presque’île.
Ce tour d’horizon des enjeux du territoire a été riche d’enseignements. Monsieur le Maire m’a, à nouveau, alerté sur la désertification médicale, la santé de proximité, la problématique du logement, la sécurité notamment en période estivale et touristique, sur le recul du trait de côte et ses conséquences. Autant d’éléments à considérer pour le travail législatif.
C’était également l’occasion de faire le tour des nombreux projets en cours dans la commune.
Passation de commandement au centre de secours d’Avrillé, toujours un moment fort et l’occasion de saluer les Sapeurs-pompiers de Vendée. J’ai rappelé l’attachement de la Nation à ses pompiers et notre admiration pour leur dévouement.
L’occasion également d’une première cérémonie avec Sylvie Verdon, nouvelle maire de la d’Avrillé.
C’est un remarquable événement qui se déroule ce week-end, jusqu’à dimanche, à Sainte-Flaive-des-Loups.
“Mémoire Vivante” nous replonge en pleine Seconde Guerre mondiale, sous l’Occupation, pour rendre hommage aux résistants et aux libérateurs. Une belle manière de transmettre la mémoire, notamment aux plus jeunes, et de faire vivre l’histoire.
Bravo à cette association dynamique, à toute l’équipe de bénévoles et aux passionnés.
Bravo à monsieur le maire et à son équipe.
Merci pour ce moment de découverte.
Question n°7912 – Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr)
Mme Béatrice Bellamy interroge M. le ministre de la santé et de la prévention sur l’absence, de plus en plus fréquente, des prises en charge des frais de transport après une opération hors département d’affiliation. L’assurance maladie peut prendre en charge les frais de transport si l’état de santé du patient le justifie. Elle le peut sous certaines conditions : sur prescription médicale, notamment dans le cas d’un transport en ambulance, lorsque l’état du patient nécessite d’être allongé ou sous surveillance ou encore pour un transport de longue distance. Toutefois, dans ce cas, la prise en charge de certains transports nécessite l’accord préalable du service médical de l’assurance maladie. Or il est fréquent que la CPAM de rattachement refuse cette prise en charge, malgré une prescription médicale et un appui important du médecin, au motif que ladite intervention chirurgicale n’a pas été réalisée en proximité. Dans certains territoires, la désertification médicale a de lourdes conséquences quant à la qualité de la prise en charge médicale, voire à la seule possibilité d’être pris en charge en proximité, en cas de besoin d’un traitement spécifique ou d’une opération lourde. Il faut parfois faire plus de 300 km pour trouver un chirurgien acceptant d’opérer ; aller dans un hôpital parisien pour trouver un traitement adapté à une pathologie lourde ou spécifique. Le retour en ambulance paraît dans certains cas indispensable. Pourtant, la CPAM refuse la prise en charge au prétexte d’un manque de proximité des soins, laissant alors le patient face à des frais s’élevant parfois à plusieurs milliers d’euros. Ainsi, elle l’interroge quant à la possibilité d’assouplir les conditions de prise en charge eu égard au contexte de désertification médicale, rendant difficile l’accès aux soins en proximité.
Ce lundi, j’ai visité le Centre Hospitalier Départemental de La-Roche-sur-Yon, j’ai pu échangé avec la direction et les personnels soignants et administratifs. Je remercie Francis Saint-Hubert directeur du CHD Vendée, le Dr Philippe Fradin, président de la CME et le personnel présent dans les services visités.
J’ai notamment visité les urgences et la salle de régulation du SAMU. L’occasion d’évoquer les difficultés de recrutement évidemment, le métier d’ARM (auxiliaire de régulation médicale), le lien ville/hôpital, la proposition de loi Santé et territoires…
Puis, nous avons échangé avec l’USP (unité de soins palliatifs) : 8 lits qui demeurent insuffisants, la formation de tous les acteurs sur l’accompagnement à la fin de vie, l’application de la loi Léonetti…
Enfin, nous avons visité et échangé avec le service de réanimation et de soins intensifs. La Vendée est le département français le moins bien couvert en nombre de lits. Un réel enjeu d’avenir…